Il faut, certes, manifester sans violences. Mais imposer les thèmes du débat (...), surtout si personne n’y va, n'est pas les aspirations du peuple qui seront pris en compte ; c’est imposer la lecture d’Emmanuel Macron. Il faut que partout l’ISF, les 80 km/h, le RIC, la désindexation des retraites, le smic etc. soient l’exigence.
« Il faut, certes, manifester sans violences. Mais imposer les thèmes du débat (...), surtout si personne n’y va, n'est pas les aspirations du peuple qui seront pris en compte ; c’est imposer la lecture d’Emmanuel Macron. Il faut que partout l’ISF, les 80 km/h, le RIC, la désindexation des retraites, le smic etc. soient l’exigence. »
« Le président de la République ne s’en sortira pas, et donc la France, sans manger une partie de son chapeau. Il devra donc revenir sur ce qui a été décidé et qui a provoqué cette situation. »
« Je ne supporte pas les éléments de langage de la République en marche « le grand débat serait une nouveauté historique » ; i) le Général de Gaulle parlait au peuple sur les places de nos villes (...) ; ii) et ses successeurs débattaient (…). À les entendre, le monde commence avec eux mais c’est précisément cette prétention que les Français ne supportent plus (…). »
« Il faut un débat dans le débat. On ne va pas continuer un débat à deux étages ; i) ou les bourgs claquemurés voient des maires respectueux des institutions poser des questions à un président avenant ; ii) et le peuple confiné à un débat de seconde zone avec les maires. Puisque, sous la République Macron, il n’y a que le président et le peuple, il faudrait un débat entre lui et ceux qui l’interpellent. »
Vidéo de l'émission "l'Heure de Bachelot" sur LCI