"On ne peut que le souhaiter pour la France (...)! vu l état des partis de gouvernement, je ne donne pas cher de leur situation en cas de présidentielle ou de dissolution de l'assemblée (...); et c'est alors le saut dans l'inconnu ! ...
Au sommet, c'est la panique, et à la base cela va dans tout les sens (...) le pouvoir est dans une tenaille (...) quand on voit le président répondre à une pétition vieille de deux mois, on se dit qu'il ne sait plus quoi faire pour se faire aimer.
(...) L'exécutif lâche tout (...) les policiers ont gagné en moins de 24 heures (..) et quant aux états généraux, cela peut-être un feu de cheminée.
Pour les EG, il y a deux risques : que cela débouche sur rien ou que ce soit incontrôlable (...). Ce mouvement mute chaque semaine (...) Il est politique - un besoin de reconnaissance - et plus essentiellement revendicatif.