• Une droite siphonnée par Emmanuel Macron et une gauche complètement siphonnée

    On le voit, la gauche non mélenchoniste a bien du mal à s’unir. L’initiative salvatrice de Place publique intervient dans une conjoncture pour le moins redoutable : la crise politique existentielle que traverse la France, et les européennes peu propices à l’union, une France divisée fractionnée, en protestations multiples et une gauche hors-jeu.
  • Mon coup de gueule sur l'affaire Mila et la gauche !

    Du pataquès de la manifestation du 5 novembre à « l’affaire » Mila, la gauche ne sait plus protéger les Français musulmans en étant intraitable avec le séparatisme intégriste au nom de l’islam. La gauche a perdu de vue la République, comme hier elle avait égaré la nation.
  • La France révoltée

    Magistrats révoltés par les déclarations du président sur l’affaire Halimi ; avocats sur les retraites ; médecins hospitaliers sur les budgets ; pensionnaires de l’Opéra de Paris, salariés du public, SNCF, RATP et transports sur les retraites.
  • La présidentielle nous intéresse

    La gauche mise hors-jeu par la présidentielle de 2017, ses divisions et ses propositions datées a devant elle un possible retour inattendu ...
  • Le retour de la gauche

    2020 sera l’année du retour de la gauche !... En tout cas les conditions sont réunies.1/ Le retour du social : Grâce à l’offensive libérale d’Emmanuel Macron, avec deux réformes symboliques, la réforme de l’allocation chômage et la réforme des retraites, la question sociale est de retour.
  • Le point sur la crise (n°2)

    La mobilisation du 17 décembre 2019 n’était pas inférieure à Paris et en régions à celle du 5 décembre. Le ministère de l’intérieur ayant surcoté les manifestations au grand étonnement des syndicats. Ces derniers ont mécaniquement surévalué leurs chiffres.
  • Le livre qui veut changer la gauche pour changer la France !

    Le Dîner Des Présidents aux Editions Kero, une savoureuse rencontre fictive entre Emmanuel Macron, François Hollande, Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac en pleine crise des gilets jaunes.
  • Le point sur le conflit

    Les signes ne trompent pas. L’Élysée multiplie les confidences. Le président aurait été réticent à l’annonce sur l’âge pivot « D’ailleurs, ce n’était pas dans ses propositions de campagne » nous souffle-t-on. L’image, reprise par les médias, est celle d’un Édouard Philippe incarnant une ligne dure, anti CFDT, garante des équilibres budgétaires et de l’image réformiste de droite.
  • Une nouvelle époque commence

    Dans ma jeunesse il était interdit d’interdire. Aujourd’hui, il semble que ce soit chaudement recommandé. On devait jouir sans entrave et sans temps mort.
  • Toujours moins

    Le mouvement multi-catégoriel du 5 décembre est la réplique du séisme des gilets jaunes. Le vecteur, le prétexte dirons-nous, est la réforme des retraites. Pour les gilets jaunes, il s’agissait de la hausse du carburant.