• Quand le Parti Socialiste adoptait le référendum d’initiative populaire

    Le Parti Socialiste adoptait en mai 2016 via la commission sur la réforme constitutionnelle, présidée par Laurent Dutheil, le référendum d’initiative populaire. Ce texte de 50 propositions, qui a été repris en partie par Benoît Hamon lors de la présidentielle, proposait de nombreuses évolutions constitutionnelles dont le référendum.
  • Gilets jaunes et maintenant ?

    Il y aura un avant et un après gilets jaunes. Pour Macron, c’est évident, cette menace va brider toute la fin de son quinquennat. La question du départ du gouvernement Philippe va monter. Mais la jonction sous le gilet jaune du national populisme et du populisme de gauche a enfanté un nouvel acteur sur les terres même du populisme.
  • Il faut un gouvernement de concorde nationale pour l'urgence sociale

    INVITÉ jeudi du "Talk Le Figaro", Jean-Christophe Cambadélis a jugé qu'il était malvenu que le gouvernement appelle les "gilets jaunes" à ne pas manifester samedi prochain "sans lui-même faire un geste raisonnable". "Il pourrait recevoir des "gilets jaunes" samedi dans toutes les préfectures pour discuter des mesures qui ont été annoncées", a déclaré l'ancien premier secrétaire du Parti Socialiste. Cette idée "pourrait éviter une manifestation nationale", a-t-il dit.
  • Ségolène Royal peut rassembler la gauche aux européennes

    Le congrès du Parti socialiste européen, qui s'est tenu à Lisbonne, amorce un virage à gauche. Jean-Christophe Cambadélis y était. Propos recueillis par Emmanuel Berretta - Le Point
  • Macron au milieu du gué

    Le président de la République a mis 15 milliards d'euros sur la table sans électrochoc politique. Ce qui était impossible hier est devenu possible aujourd'hui. Les gilets jaunes et la violence sont passés par là.
  • Monsieur le Président de la République

    Notre pays a l’âme dévastée. La France s’enfièvre. La colère est partout, dans les villes comme dans les campagnes. Elle est dans toutes les conversations. Elle est massive pour ne pas dire majoritaire. Elle est en passe de devenir le premier parti de France.
  • Il faut rétablir la paix civile

    IL FAUT traiter l'urgence puis s'attaquer à ce qui est important. L'urgence est politique : le gouvernement doit être changé, les mesures reportées, les manifestations encadrées.
  • Qui sème le désordre récolte la tempête

    Dès le soir de la présidentielle, j’exhortais le Président à maîtriser sa victoire. Le pays était à bout. François Hollande avait tenté de louvoyer entre les risques de la rue et les risques des sanctions des marchés, et s’était fait éliminer.
  • Ça craque !

    Ça craque ... la crise de rejet prend de l'ampleur. L'opinion mobilisée, l'opinion sondée font jonction dans la protestation. Mais des signes de basse intensité s'accumulent.