• Emmanuel Macron n’est pas au bout de ses peines

    Il est de bon ton de dire, au vu des sondages de l’élection européenne, que Emmanuel Macron va s’en sortir, s’en sort ou s’en est sorti. Il faut en ce domaine être réservé.
  • La concorde contre l’antisémitisme

    Nous avons assisté ce soir à une belle initiative du Parti Socialiste, un beau réflexe de concorde national contre l’antisémitisme. Et maintenant ?
  • Faire face à l’antisémitisme

    La manifestation la plus criante de l’antisémitisme ce ne fut, pas seulement un tag sur un restaurant, sur les portraits de Simone Veil ou l’immonde destruction de l’arbre d’Ilan Halimi, mais la haine spontanée contre Alain Finkielkraut.
  • La crise est partout ...

    Nous vivons une crise de rejet sans précédent. C’est une vraie crise politique. Depuis des mois, la contestation du samedi soir ‪hante les week-ends. Le soutien aux gilets jaunes ne faiblit pas ; près de 60% dans le dernier sondage tombé.
  • Cambadélis : "la rencontre des insoumis avec les gilets jaunes n'a pas eu lieu"

    Retrouvez l’interview où je mets les points sur les i à propos de la gauche dans le dernier numéro de Causeur
  • Droite KO, Gauche chaos, dans un moment incertain

    L’opération « laissons dégorger les escargots » bat son plein. Il faut dire qu’Emmanuel Macron maîtrise le « question-réponse », comme beaucoup d’autres politiques. Mais il donne à l’exercice une dimension de marathonien propre à impressionner.
  • Debout la gauche, réveillez-vous !

    Mon précédent texte a produit beaucoup de débats et d’interpellations. Je vais tenter de répondre cette semaine et les semaines à venir à ces questions ;
  • Il y a urgence à rassembler la gauche non mélenchoniste

    L’acte IX des gilets jaunes et « la lettre aux Français » d’Emmanuel Macron démontrent que nous allons soit au référendum, soit à la dissolution, soit le plus probable aux deux. Le président a refusé un gouvernement de concorde nationale. Il a gardé un dispositif lourdement contesté, et, par sa lettre, il a maintenu l’essentiel de ce qu’il estime être sa légitimité élective.
  • Le pari d'Emmanuel Macron et celui des gilets jaunes

    Le discours du 31 décembre 2018 du président de la République et la provocation-mobilisation d’Éric Drouet ont planté le décor du début d’année. Emmanuel Macron a décidé de s’enfermer dans le donjon du premier tour de la présidentielle ; de la même façon que Sarkozy, affaibli, décida le 30 juillet 2010, avec son discours de Grenoble sur l’identité, de reprendre pied.
  • 2018-2019 tout s'accélère

    L'année fut, paraît-il, la plus chaude du siècle. Cette constatation n'est pas seulement climatique. Cette année fut celle de l'ébranlement occidental, si on accepte que l’Occident soit le berceau de la démocratie, de l'état de droit et de l'état social.