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Mon intervention devant le congrès du Mouvement des citoyens
D’abord, merci de m’avoir invité à prendre la parole devant votre congrès de fondation. Ensuite, permettez-moi de saluer votre premier secrétaire Jean-Marie Alexandre, à travers lui Jean-Pierre Chevènement, Sabine Van Hegue. Et je ne peux pas ne pas avoir une pensée pour Georges Sarre. -
Le débat ne fait que commencer
Début d’une nouvelle gauche plurielle : David Cormand, Adrien Quatennens, Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann, Nathalie Perrin-Gilbert, Bastien Faudot, Virginie Rozière et Jean-Christophe Cambadélis ce week-end à Rochefort -
Ma tribune dans L'Opinion "J'aime la Gauche"
C’est bientôt la rentrée. Les marronniers sont de sortie. Et pourtant la situation n’a rien d’habituel. -
RFI matin du 11 juillet
"Même si on ne peut pas juger les pratiques d’hier avec les lunettes d’aujourd'hui, ces pratiques sont aujourd'hui insupportables d’autant que de Rugy avait mis les députés d’hier et d’aujourd'hui à la diète". -
Réconcilions-nous !
"L'ancien patron du parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis veut sortir la gauche de l'ornière et appelle à ce qu'elle se rassemble." Le JDD -
La gauche doit se reconstruire sur i24NEWS
La privatisation d'ADP, le bilan des européennes, Macron la deuxième droite, la réforme des allocations-chômage, la dérive de l'UNEF, l'avenir de la gauche et sa jeunesse avec Charlotte de Turquiem... Jean-Christophe Cambadélis répond sur i24 -
Forum Radio J du dimanche 16 juin
Le replay de l'émission du 16 juin : Municipales : "Benjamin Grieauxne se prend pas pour la moitié d’une cacahuète. Si son leadership ne va pas de soi dans son parti, il n’ira pas de soi à Paris". -
Jean-Christophe Cambadélis de retour dans le bassin minier !
Il s’est lancé dans un « tour de France de la gauche municipale » qui le conduit ce jeudi dans le bassin minier. À Hénin-Beaumont, déjà conquis par le RN, puis à Liévin et Lens, deux villes où les résultats des Européennes ont déclenché l’état d’urgence pour les socialistes encore en place. -
Violences policières dans les manifestations
Le pavé sur les manifestants Le geste n'est pas excusable mais explicable. Les policiers n’ont pas à jeter des pavés ou gifler des manifestants. Cela doit être dit et sanctionné, le cas échéant. -
Macron n'a pas convaincu !
Les Français ont déjà répondu : à 63 %, ils ne sont pas convaincus. Le constat était pourtant lucide, mais le fait de cocher toutes les cases, avec beaucoup de flous, sans nouveau dessein pour le pays, n’a pas convaincu (...).